Carte des principaux sites antiques en Sicile répertoriés sur sicile-sicilia.net : grecs, romains ou plus anciens, avec les vestiges de sanctuaires, de cités, nécropoles et les musées archéologiques principaux.
C’est assurément la vallée des temples qui est le site le plus spectaculaire de l’île, où sur la crête dominant la côte se succèdent plusieurs temples, à proximité des restes de la ville antique d’Akragas.
Catégorie : Non classifié(e)
Au sommet du mont Jato, le site archéologique de l’antique cité de Laetia occupe un très bel endroit, occupé par les Elymes et les grecs, jusqu’au moyen-âge.
Près de l’entrée des catacombes homonymes, l’église San Giovanni Evangelista (Saint-Jean l’évangéliste), aujourd’hui en grande partie ruinée
La basilique de Santa Lucia al Sepolcro (Sainte Lucie au Sépulcre en français) se dresse sur le lieu ou la sainte fut martyrisée en l’an 304
Les catacombes de San Giovanni qui remontent aux années 320-360 et ont servi jusqu’à la fin du Ve siècle
La catacombe de Sainte-Lucie (Santa Lucia), près de l’église normande de Sainte-Lucie (XIIe) et du temple San Sepolcro
Situé sur la via della Giudecca, dans le palais Midiri-Cardona, ce musée est consacré aux puppi, les marionnettes siciliennes
Se dirigeant vers la côte orientale, par exemple par l’étroit vicolo IV alla Giudecca, les bains juifs (ou Miqwè) se découvrent sous le Palazzo Bianco, à 18 mètres du niveau du sol.
C’est la place de la cathédrale. Au temps des grecs, s’y trouvait l’acropole. Aujourd’hui, la place est entourée de demeures baroques qui furent construites après le tremblement de terre de 1693
La place Archimède (Piazza Archimede) est une des plus scénique de Syracuse avec la fontaine de Diane au centre, construite en 1906, dédiée à la déesse de la chasse.
On rentre dans la zone du château par le Portale Spagnolo, aménagée à l’origine par les normands.
Le château Maniace est situé à la pointe sud de l’île, construit sous les souabes de Frédéric II au XIIIe siècle, au dessus d’un fort d’origine grec. Il a été modifié par les espagnols au XVIe siècle.
De nos jours il ne reste qu’une seule des quatre tours d’angle.
C’est une source d’eau douce qui dans l’antiquité alimentait en grande partie la ville en eau potable. Elle occupe un bassin entouré d’anciens murs et y poussent des papyrus égyptiens.